P'tits plaisirs

La colline qui mange du lion

La colline qui mange du lion

On avait flairé le mouvement avec l'arrivée de Copper Roots, Maria, Dr. Yeast et encore tout récemment des cocktails de Boema. Ce n'était qu'un début pour la Croix-Rousse. La colline-qui-travaille couve une flopée de nouvelles adresses qui montrent notamment qu'elle aime de manière grandissante la fête.

Gigi : La bande du bar La Madone prend de l'altitude. Elle est en train de briquer de fond en comble l'ancien café-terrasse Les 7 Marches. Déco esprit guinguette d'ajourd'hui mais codes similaires à ceux de la rue des Capucins. Plats du jour bon enfant en prime. 75 bd de la Croix-Rousse. Ouverture mi-mars

Maison Courgette : Coquette, bio, circuit court, zéro déchet, doublée d'un café-salon de thé, c'est la nouvelle épicerie tout en pierres et produits sourcés de la Grande rue de la Croix-Rousse, au n° 75. Et le pendant parfait à Pick&Gram, au 83 de la même voie. Rdv le 21 mars

Barabaar : Ou l'après Montana. Encore une institution reprise, qui exploite le filon bar à bières. La mécanique bien huilée déjà présente aux Brotteaux se dupliquera à la faveur des beaux jours au sommet de la Montée de la Grande Côte : bières donc, pizzas, foot.

Au Goût à Goutte. Cette cave à manger emmenée par un ancien du GastroPub va rectifier le rapport inégal bars à bières vs bar à vins, et ramener une échelle plus intimiste dans un secteur qui prend des airs de rue Mercière des bars, version perchée. Vins bio et nature en sortie de bureaux. Merci à lui. 2 rue de Cuire. Ouverture mi-fin mars